Notre ami Didier a cessé de souffrir, après de longs mois de combat.
Il a achevé son chemin sur terre et s’en est allé. Où ?
Dieu seul, s’il existe, le sait. Où sont ceux qu’on aime quand la vie les a lâchés ?
Ceux qui restent, ceux qui l’aiment, ceux à qui le manque de lui est trop insupportable se demanderont longtemps, comme une obsession lancinante, s’il est encore là, s’il reste présent à veiller sur eux, s’il peut leur communiquer un peu de force pour continuer sans lui.
Didier est dans nos pensées, présent, silencieux, assiste à tous nos concerts, enthousiaste, aidant et bienveillant,
Public acquis d’office qu’on n’a pas besoin d’inviter. Sans chanter il était membre à part entière
De notre chœur.

Notre affection, notre amitié et nos pensées vont bien sûr à Jeanne, qui s’est battue à ses côtés, qui est restée solide, combative, arborant la gaieté et l’optimisme jusqu’au bout, cachant son angoisse, se faisant légère pour le moral de tous. Nous l’admirons et lui savons gré de tout ce qu’elle nous donne, elle qui sait toujours être à nos côtés, avec sa générosité et son humour.

Nous souhaitons à Jeanne et Maxime tout le courage nécessaire pour affronter les jours, les mois qui viennent.
Le chemin est long avant l’apaisement mais il vient un jour.
Nous les assurons de toute notre amitié et de notre soutien et les embrassons.